Avec le développement des nouvelles technologies, des supports multimédias digitaux, des réseaux sociaux, du smartphone, des objets connectés ou encore de l’intelligence artificielle, nous connaissons depuis plusieurs années une révolution technologique sans précédent.
Ces évolutions technologiques font parfois émerger le pire, parfois le meilleur. En tant qu’humanistes, nous souhaitons avant tout que ces nouvelles technologies permettent d’être les outils de liens plus forts entre les habitants ainsi qu’avec les élus et favoriser l’émergence d’initiatives au service de la convivialité. De multiples applications technologiques renforcent notre qualité de vie : applications de covoiturage, systèmes d’échange locaux numériques, digitalisation des services publics, feux de signalisation intelligents, usage de la domotique en maisons de repos ou à domicile pour préserver l’autonomie des aînés ou encore réduire notre consommation énergétique.
- réduire la fracture digitale par l’accès au réseau à haut débit, l’apprentissage numérique et l’accessibilité à l’informatique au travers de la nouvelle bibliothèque communale qui verra le jour sur le site des anciennes Casernes. Pour certains publics (aînés, personnes précarisées), la réduction de cette fracture passe par la mise à disposition d’espaces numériques mais aussi par l’aide de personnes compétentes pour les assister dans leurs démarches, au cœur de leur quartier (singulièrement les quartiers sociaux) et au sein de la nouvelle bibliothèque/médiathèque
- multiplier les opportunités de rencontres entre habitants et de partage des ressources (portail numérique et participatif par quartier, systèmes d’échange local en ligne, bourses numériques locales de vente en seconde main, autopartage ou « car-sharing »…)
- mettre en place des hotspots communaux, en particulier à proximité des endroits non couverts par l’internet haut débit ou lorsque la bande passante est saturée et ne permet pas à l’ensemble des riverains d’y accéder